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La gestion économe du foncier est au cœur des politiques d’aménagement et du logement. Économe au sens d’une moindre artificialisation des terres agricoles et naturelles, mais aussi au sens de la modération des prix des vente des terrains destinés à accueillir des logements ou des entreprises. Cette publication de l’observatoire foncier du pays de Brest met en relation l’approche du planificateur et le fonctionnement des marchés.
La réalisation du tramway de Brest a redistribué et diversifié l’offre de stationnement au cœur de l’agglomération. La redéfinition du réseau de transport collectif, la création d’une zone piétonne au centre-ville mais aussi le développement des zones bleues et la mise en place des parkings relais ont modifié les usages des automobilistes.
En 2014, 12 500 places sur voiries ont été recensées, un nombre en baisse de 8,7 % par rapport à 2006. Pour autant, l’offre reste globalement suffisante puisque le taux d’occupation moyen à la journée ne dépasse pas les 69 % sur la zone enquêtée.
Dans le pays de Brest, 27 ha de terrains sont artificialisés chaque année pour l’accueil d’activités économiques. Le marché des terrains «neufs» aménagés a connu un net ralentissement depuis 2009, en raison de la conjoncture économique et d’une offre foncière moins importante. Les opérations en renouvellement urbain représentent une superficie de 8 ha /an et offrent des opportunités d’implantation dans des espaces attractifs.
A la fin de l’année 2015, l’activité semble globalement se maintenir selon les chefs d’entreprises du bassin brestois. Signe encourageant, la part des dirigeants qui ont enregistré une baisse de leur chiffre d’affaires, s’est réduit de 32 % en juin dernier à 27 %. Les effectifs des entreprises interrogées continuent d’être stable ; pour autant, les perspectives sont mesurées pour les 6 prochains mois.
Le Pôle métropolitain Loire-Bretagne est connecté à trois échelles de réseaux : une réseau de proximité, un réseau Grand Ouest et un réseau métropolitain. Dans leur ensemble les flux observés confirment tant l'attractivité résidentielle du Pôle qu'une certaine dépendance économique à l'égard de l'extérieur.
Le numérique joue un rôle central dans l’économie française et ses impacts, déjà majeurs, devraient augmenter dans les années à venir. La croissance et la productivité de l’économie nationale, la compétitivité des entreprises, la diffusion des échanges et des savoirs sont autant d’enjeux pour la filière numérique. Les agences d’urbanisme d’Angers, Brest, Nantes, Rennes et Saint-Nazaire ont souhaité dresser un premier portrait de l’économie numérique à l’échelle du Pôle métropolitain Loire Bretagne (PMLB), en s’appuyant sur la labellisation French Tech des agglomérations.