Le Portail des Savoirs traite de tout ce qui touche au « savoir », au sens large, produit en Bretagne occidentale, sous la forme de captations de conférences et d’entretiens, de diaporamas, d’articles et d’écrits …
Jeudi 9 février à 14h30 : la Fondation ILDYS et son dispositif VAS-Y en partenariat avec le CLIC de Brest vous proposent de participer à une conférence sur le thème : « Conduire, c'est aussi une affaire de santé : Conduire et mémoire »
Jeudi 9 février à 14h30 à la résidence autonomie de Poul ar bachet (30 rue Louis Pidoux)
La conduite est une tâche complexe qui exige de bonnes capacités physiques et cognitives. Avec l'âge, certaines d'entre elles diminuent, la vue baisse, particulièrement la nuit… la prise de décision devient plus lente, le temps de réaction augmente. Mais alors, comment conduire en sécurité pour soi-même et pour les autres et profiter de sa mobilité le plus longtemps possible ? Comment juger de son aptitude, de ses limites à conduire ?
Cette conférence sera animée par une neuropsychologue, un ergothérapeute et un moniteur d'auto-école.
A l'issue de ce temps, Vas-Y Fondation ILDYS proposera un accompagnement personnalisé pour réaliser un point individuel sur ses habitudes de conduite avec un ergothérapeute. Une à trois heures de séances de conduite gratuites avec un binôme ergothérapeute-moniteur d'auto-école pourront également être organisées.
Plus d'informations auprès de :
Fabienne MILIN, chargée de prévention VAS-Y – Fondation ILDYS
– Dr Michel Walter (Chef de pôle psychiatrie – CHU)
"Certains troubles psychiatriques graves émergent à l'adolescence et se révèlent souvent par une symptomatologie aspécifique peu bruyante dans un premier temps. Ce sont ces symptômes qui sont visibles initialement et amènent les patients aux soins de première ligne.
Les patients rencontrent les soins spécialisés tardivement et souvent alors que la maladie évolue déjà depuis de nombreux mois, cette période avant l'accès aux soins spécifiques est appelée « durée de maladie non traitée ». L'évolution est alors généralement associée à une forte morbi-mortalité et une qualité́ de vie détériorée pour les personnes atteintes et leurs proches.
Les efforts sont actuellement dirigés vers une prise en charge précoce et un raccourcissement de la durée de maladie non traitée. En effet, l'identification précoce et les interventions rapides au décours de l'évolution d'un trouble psychiatrique semblent maximiser les effets thérapeutiques et améliorer la qualité de vie du patient.
Ces nouveaux dispositifs s'adressent aux adolescents et jeunes adultes (15-30 ans) qui présentent des premiers symptômes évocateurs d'un trouble psychiatrique sévère en constitution. Ces jeunes nécessitent un accompagnement afin de maintenir une insertion socio-professionnelle et relationnelle, facteur pronostique essentiel de bonne évolution clinique. Une nouvelle forme d'accompagnement est proposée, celui-ci se fait dans le milieu de vie du patient par un professionnel formé spécifiquement (un « case manager »)."
Lundi 29 janvier – 18h30/20h00
Faculté d'économie, de droit et de gestion – Amphi 500 – Entrée rue Commandant Paul Vibert.
CONFERENCE // Le pollen un marqueur des changements environnementaux passés : entre dynamiques climatiques et pressions anthropique
Avec Muriel Vidal, Maître de conférences et Ophélie David, Attachée temporaire d'enseignement et de recherche du Laboratoire Geo-Ocean Université de Brest, Université de Bretagne Sud, CNRS, Ifremer
A l'Auditorium - Les ateliers des Capucins – Brest
"Après ma soirée, je garde le contrôle, je rentre en sécurité" est le thème de la campagne de communication déployée dans le cadre du "plan alcool brestois".
A cet effet, la ville de Brest tient à la disposition des organisateurs et organisatrices de soirées à Brest des supports de communication visant à promouvoir les bons réflexes pour rentrer en sécurité :
• Celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas (Noctybus, taxi, SAM) ;
• Je ne rentre pas seule ou seul ;
• En cas de problème, j'appelle le SAMU en faisant le 15 ou la Police en faisant le 17.
Matériel de communication disponible (cf. pièces jointes) :
En avant première, venez découvrir le film-documentaire "Revivre" lundi 29 janvier à 20h au cinéma Les Studios à Brest, suivi d'échanges avec les membres de France Adot 29 ( Association pour le Don d'Organes et de Tissus).
À l'occasion de la Journée Nationale de Prévention du Suicide, l'organisation non gouvernementale Dites Je Suis Là s'associe aux municipalités françaises qui veulent s'engager pour sensibiliser et mobiliser le public sur un sujet de santé publique vital : la prévention du suicide.
Les consciences s'éveillent progressivement sur l'importance de la prévention du suicide, c'est un enjeu qui gagne de plus en plus en visibilité et en importance dans la société. La mission de l'association est de diffuser un message simple mais puissant : chaque individu peut devenir un aidant potentiel, capable d'agir face à un proche en souffrance.
Cette question sera abordée le mardi 20 février à 18h à la faculté de Lettres Victor Ségalen , à Brest avec la chercheuse Bénédicte Bonzi.
La crise sanitaire et l'inflation récente ont mis au centre de l'attention les difficultés d'accès à l'alimentation pour une large partie de la population.
Au-delà de l'aspect conjoncturel, ces éléments ont été révélateurs de dysfonctionnements structurels de nos systèmes alimentaires, qui ne permettent pas à toute la population d'accéder de manière choisie à une alimentation saine et durable.
“Comment rendre accessible à tous une alimentation de qualité ?”, c'est la question qui sera abordée lors de cette rencontre.
Bénédicte Bonzi, chercheuse en anthropologie à l'EHESS, est l'autrice de l'ouvrage La France qui a faim, où elle présente les résultats de sa thèse menée sur le terrain au sein des Restos du Cœur, au fil des maraudes, au long des rencontres avec les bénévoles et les bénéficiaires.
Le mardi 20 février à 18h à l'amphithéâtre Yves Moraud (B001), faculté de lettres Victor Segalen, à Brest
accessible à toutes et tous, entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles.
Un événement co-organisé par le projet alimentaire de Brest Métropole, le CCAS de la Ville de Brest et l'association Epicerie solidaire en réseau.
Pour mettre l'épilepsie en lumière, combattre la méconnaissance et les préjugés qui l'entourent, il reste encore beaucoup à faire. C'est en unissant nos efforts, en changeant les mentalités et les états d'esprit qu'on peut y parvenir.
Pour cela, il est nécessaire de communiquer sur cette maladie neurologique chronique qui touche plus de 650.000 personnes en France, soit 1% de la population.
La Journée Internationale de l'Épilepsie représente une occasion à ne pas manquer pour nous aider à changer le regard sur l'épilepsie
La Journée Internationale de l'Épilepsie se déroule chaque année dans plus de 140 pays à travers le monde
le deuxième lundi du mois de février. Elle a pour objectif de sensibiliser le public à cette maladie
neurologique insuffisamment connue. Grâce aux campagnes d'information relayées dans les médias, elle contribue à mieux faire connaître l'épilepsie et à la faire sortir de l'ombre.
L'épilepsie reste encore taboue, par méconnaissance du grand-public.
Il est indispensable de parler de l'épilepsie, d'informer sur cette maladie, de faire connaître ses répercussions au quotidien, de lutter contre les préjugés qui engendrent un rejet et une stigmatisation fréquemment associés à la maladie.
Le 12 Février prochain : Ensemble, changeons le regard sur l'épilepsie !
QU'EST-CE QUE L'ÉPILEPSIE ?
L'épilepsie est une maladie neurologique chronique caractérisée par la survenue de crises (dont les formes sont variées) qui correspondent à un dérèglement soudain et transitoire de l'activité électrique du cerveau. En raison de leurs aspects multiples et variés, on parle plutôt des épilepsieS.
Plus de 650 000 personnes en France sont concernées, soit 1% de la population, dans toutes les tranches d'âge, dans tous les milieux. Les épilepsies peuvent provenir de lésions du cerveau faisant suite à un traumatisme crânien, une malformation cérébrale, un AVC, une infection (encéphalite, méningite), une tumeur, avoir une origine génétique ou n'avoir aucune cause connue (épilepsie idiopathique). L'errance diagnostique est fréquente : il n'est pas rare que les crises d'épilepsie soient attribuées à tort à de la spasmophilie ou à une dépression, avec pour conséquence un traitement inadapté, voire susceptible de provoquer ou d'aggraver les crises. Ce n'est ni une maladie contagieuse ni une maladie mentale.
Les préjugés autour de l'épilepsie pénalisent les personnes concernées. Elles ne doivent plus être amenées à cacher leur maladie par peur d'être stigmatisées ou mises à l'écart. L'épilepsie reste encore taboue. De nombreuses idées reçues circulent toujours, principalement par méconnaissance du public.